Tuesday, March 31, 2009
30-03-09 http://modem-authentique.blogspot.com
On peut craindre que le G 20 ne consacre trop de temps à la rémunération des patrons d’entreprise. La question se pose certes - on a vu les scandales sur le sujet -, mais le véritable problème en la matière est le contenu des pouvoirs des propriétaires majoritaires du Capital.
S’ils peuvent toujours régler les salariés pour « solde de tous comptes « , les « 20 « limiteront peut-être les rémunérations des dirigeants, mais il n’y aura pas de changement sur le fond., de modification de leur statut.
La question, n’est pas, à notre avis, de reformer, ou de moraliser le capitalisme ou d’appeler les capitalistes à être vertueux. Il faut instaurer un système économique dans lequel les capitaux sont des outils d’investissements des entreprises, pas des supports de pouvoir unilatéral. Ce n’est pas nier un droit logique à rentabilité de cet argent, mais il ne faut pas confondre rentabilité et hold-up sur le travail des salariés.
Le G 20 aurait dû être précédé d’un G 4 : USA – Eurogroupe – Angleterre – Japon. pour signer deux accords essentiels :
a) - Serpent monétaire - sur la base par exemple de 1,2 dollar pour un euro, avec fluctuation maxi de + ou – 5% -
b) - Fermeture des paradis fiscaux, qui sont en réalité des niches de fraude fiscale, Elles doivent donc être sanctionnées comme telles.
A 20 participants de tailles si disparates, aux intérêts très divergents, aucune décision fondamentale ne pourra être prise. Or à cette époque et sur ce type de sujet « le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions « .
On peut craindre que le G 20 ne consacre trop de temps à la rémunération des patrons d’entreprise. La question se pose certes - on a vu les scandales sur le sujet -, mais le véritable problème en la matière est le contenu des pouvoirs des propriétaires majoritaires du Capital.
S’ils peuvent toujours régler les salariés pour « solde de tous comptes « , les « 20 « limiteront peut-être les rémunérations des dirigeants, mais il n’y aura pas de changement sur le fond., de modification de leur statut.
La question, n’est pas, à notre avis, de reformer, ou de moraliser le capitalisme ou d’appeler les capitalistes à être vertueux. Il faut instaurer un système économique dans lequel les capitaux sont des outils d’investissements des entreprises, pas des supports de pouvoir unilatéral. Ce n’est pas nier un droit logique à rentabilité de cet argent, mais il ne faut pas confondre rentabilité et hold-up sur le travail des salariés.
Le G 20 aurait dû être précédé d’un G 4 : USA – Eurogroupe – Angleterre – Japon. pour signer deux accords essentiels :
a) - Serpent monétaire - sur la base par exemple de 1,2 dollar pour un euro, avec fluctuation maxi de + ou – 5% -
b) - Fermeture des paradis fiscaux, qui sont en réalité des niches de fraude fiscale, Elles doivent donc être sanctionnées comme telles.
A 20 participants de tailles si disparates, aux intérêts très divergents, aucune décision fondamentale ne pourra être prise. Or à cette époque et sur ce type de sujet « le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions « .
Friday, March 27, 2009
27-03-09 http://modem-authentique.blogspot.com
D’accord. Il n’est pas correct que des dirigeants et des grands cadres de sociétés qui ont reçu des fonds publics, touchent des compléments de rémunération très élevés
Mais la tripe du problème est ailleurs. ( On ne peut parler de cœur sur un sujet pareil, ! ). Il est indécent que, avant des participations aux bénéfices des sociétés où ils exercent une fonction de management, leurs rémunérations fixes mensuelles soient – disons - 25 fois supérieures au salaire mensuel le plus bas. Il y a une exigence morale à respecter : l’apport travail fait par les sans-grade. Ce sont ces centaines, milliers de soldats du quotidien, du terrain qui gagnent les batailles. Les généraux mettent de l’imagination certes, mais les soldats leur sueur et leur sang.
Et l’argument que les salaires de 50000, 80000, 100000 euros/ mois ne sont que l’application d’un contrat d’embauche, est indécent. Il s’arque boute sur un formalisme juridique, une mécanique sans contenu social. Dans des contrats comme cela, il y a bien sûr de l’égoïsme indigne d’un responsable, mais du hold-up à priori, du détournement de fonds sociaux, du mépris de la vie en société.
Faut-il une loi ? Non, une auto-réglementation au niveau des organismes professionnels, un contrat moral du bien vivre ensemble, en partenaires.
Que, l’Etat fasse son métier. Équilibrer les comptes publics, financiers et sociaux, en répartissant l’impôt selon les capacités des contribuables.
D’accord. Il n’est pas correct que des dirigeants et des grands cadres de sociétés qui ont reçu des fonds publics, touchent des compléments de rémunération très élevés
Mais la tripe du problème est ailleurs. ( On ne peut parler de cœur sur un sujet pareil, ! ). Il est indécent que, avant des participations aux bénéfices des sociétés où ils exercent une fonction de management, leurs rémunérations fixes mensuelles soient – disons - 25 fois supérieures au salaire mensuel le plus bas. Il y a une exigence morale à respecter : l’apport travail fait par les sans-grade. Ce sont ces centaines, milliers de soldats du quotidien, du terrain qui gagnent les batailles. Les généraux mettent de l’imagination certes, mais les soldats leur sueur et leur sang.
Et l’argument que les salaires de 50000, 80000, 100000 euros/ mois ne sont que l’application d’un contrat d’embauche, est indécent. Il s’arque boute sur un formalisme juridique, une mécanique sans contenu social. Dans des contrats comme cela, il y a bien sûr de l’égoïsme indigne d’un responsable, mais du hold-up à priori, du détournement de fonds sociaux, du mépris de la vie en société.
Faut-il une loi ? Non, une auto-réglementation au niveau des organismes professionnels, un contrat moral du bien vivre ensemble, en partenaires.
Que, l’Etat fasse son métier. Équilibrer les comptes publics, financiers et sociaux, en répartissant l’impôt selon les capacités des contribuables.
Monday, March 23, 2009
23-03-09 http://modem-authentique.blogspot.com
Cà y est ! Les premiers loups sortent du bois. Il y a deux mois, le président des USA obtenait l’accord du Congrès pour un plan de relance de 870 milliards de dollars. Et aujourd’hui il injecte 500 milliards peut-être 1000 à terme pour « solder « dans les banques les créances irrécouvrables. Appelés maintenant crédits toxiques. Peut-il faire autrement ? Non. La relance est au prix du nettoyage des banques, dans tout système économique.
Nicolas Sarkosy pour la France, va nous annoncer une mesure similaire. Mais il va falloir nous donner au moins trois éclaircissements : Qui sont les responsables ? Des noms de dirigeants, pas la conjoncture, l’imprévoyance, l’incompétence, la fraude. Quelles sanctions subiront-ils ? Pas de dossiers étouffés, escamotés, de non-lieu dans dix ans.. Qui va payer ? Pas l’accroissement de la dette. Non un impôt de repentance sur les hauts revenus et les patrimoines.
Ce qui inacceptable, injuste, c’est d’employer dans le contexte actuel le vocable de solidarité. Il n’y a pas dans cette défaite financière de coopération possible entre les sans grades et les généraux. De toute façon, il faut prendre l’argent où il se trouve : Ceux qui se sont enrichis sans foi, ni loi, sur le dos des petits.
Cà y est ! Les premiers loups sortent du bois. Il y a deux mois, le président des USA obtenait l’accord du Congrès pour un plan de relance de 870 milliards de dollars. Et aujourd’hui il injecte 500 milliards peut-être 1000 à terme pour « solder « dans les banques les créances irrécouvrables. Appelés maintenant crédits toxiques. Peut-il faire autrement ? Non. La relance est au prix du nettoyage des banques, dans tout système économique.
Nicolas Sarkosy pour la France, va nous annoncer une mesure similaire. Mais il va falloir nous donner au moins trois éclaircissements : Qui sont les responsables ? Des noms de dirigeants, pas la conjoncture, l’imprévoyance, l’incompétence, la fraude. Quelles sanctions subiront-ils ? Pas de dossiers étouffés, escamotés, de non-lieu dans dix ans.. Qui va payer ? Pas l’accroissement de la dette. Non un impôt de repentance sur les hauts revenus et les patrimoines.
Ce qui inacceptable, injuste, c’est d’employer dans le contexte actuel le vocable de solidarité. Il n’y a pas dans cette défaite financière de coopération possible entre les sans grades et les généraux. De toute façon, il faut prendre l’argent où il se trouve : Ceux qui se sont enrichis sans foi, ni loi, sur le dos des petits.
Saturday, March 21, 2009
20-03-09 http://modem-authentique.blogspot.com
Si vous avez lu « Réformer Nicolas « vous vous souvenez peut-être ( page 92 ) que Jean Bonespoir proposait au président de collecter un emprunt de solidarité de l’ordre de 25 milliards d’euros, remboursable quand le budget de l’Etat serait excédentaire. ( proposition envoyée à l’Elysée le 17 Novembre 2007 ).
Évidemment un impôt de 10 % sur les revenus nets mensuels de plus de 20000 euros et le triplement de l’ISF n’auraient pas été très » populaires « ! . Populaires ? Certainement pas auprès de ce petit million de contribuables qui naviguent sur des flots bleus, en plein soleil.
Mais il le sait Nicolas, depuis quelque temps déjà, il est impopulaire, de plus en plus impopulaire. Les manifestations récentes et les grèves à venir le montrent. Mais il est aussi déraisonnable. Il promet des cautions à des banques « passoires « qui ne rembourseront donc pas. C’est également un mauvais gestionnaire. Le déficit public va être augmenté de 50% ( 60 milliards contre 40 ), la dette va passer de 1760 milliards à 2100 milliards. Il nous prend de plus pour des demeurés en répétant qu’il n’a pas été élu pour augmenter les impôts. Il a été élu par des citoyens qui le pensaient un ministre rigoureux. N’ait-il pas été le numéro 2 du gouvernement de 2002 à 2007 ? S’il ne trouve pas avec ses dents de la croissance, il faut faire des économies.
Qui peut faire des économies et relever l’économie en France aujourd’hui ? Celui qui dispose de 100 millions, aurait dit Monsieur de Lapalisse. Car s’il n’en a plus que 50, il reste à l‘aise et au chaud. Alors que celui qui n’a que 1000 euros par mois, qui voit un épais brouillard à l’horizon, souvent avec une perspective de chômage dans une économie où il n’y a plus d’offre d’emplois, ne peut que tendre le dos. En France, il y a des gens qui sont beaucoup plus dans l’égalité des conditions de vie que d’autres !
Si vous avez lu « Réformer Nicolas « vous vous souvenez peut-être ( page 92 ) que Jean Bonespoir proposait au président de collecter un emprunt de solidarité de l’ordre de 25 milliards d’euros, remboursable quand le budget de l’Etat serait excédentaire. ( proposition envoyée à l’Elysée le 17 Novembre 2007 ).
Évidemment un impôt de 10 % sur les revenus nets mensuels de plus de 20000 euros et le triplement de l’ISF n’auraient pas été très » populaires « ! . Populaires ? Certainement pas auprès de ce petit million de contribuables qui naviguent sur des flots bleus, en plein soleil.
Mais il le sait Nicolas, depuis quelque temps déjà, il est impopulaire, de plus en plus impopulaire. Les manifestations récentes et les grèves à venir le montrent. Mais il est aussi déraisonnable. Il promet des cautions à des banques « passoires « qui ne rembourseront donc pas. C’est également un mauvais gestionnaire. Le déficit public va être augmenté de 50% ( 60 milliards contre 40 ), la dette va passer de 1760 milliards à 2100 milliards. Il nous prend de plus pour des demeurés en répétant qu’il n’a pas été élu pour augmenter les impôts. Il a été élu par des citoyens qui le pensaient un ministre rigoureux. N’ait-il pas été le numéro 2 du gouvernement de 2002 à 2007 ? S’il ne trouve pas avec ses dents de la croissance, il faut faire des économies.
Qui peut faire des économies et relever l’économie en France aujourd’hui ? Celui qui dispose de 100 millions, aurait dit Monsieur de Lapalisse. Car s’il n’en a plus que 50, il reste à l‘aise et au chaud. Alors que celui qui n’a que 1000 euros par mois, qui voit un épais brouillard à l’horizon, souvent avec une perspective de chômage dans une économie où il n’y a plus d’offre d’emplois, ne peut que tendre le dos. En France, il y a des gens qui sont beaucoup plus dans l’égalité des conditions de vie que d’autres !
Wednesday, March 18, 2009
16-03-09 http://modem-authentique.blogspot.com
Un ancien premier ministre a défini le capitalisme à réguler comme un système qui a fait ses preuves, car il privilégie économie de marché et libre entreprise. Intéressant mais réducteur aux deux principaux mécanismes de ce type d’économie.
Pour nous le capitalisme, ce n’est pas la mise en exergue du capital, mais l’accaparement des plus-values sur le travail, les matières premières et les énergies par les propriétaires de capitaux investis. En quelque sorte, des propriétés qui s’amassent en partie par des hold-up et non par le travail ;
Ce n’est évidemment pas le cas de tous ces entrepreneurs, dits petits et moyens, qui hypothèquent leur maison pour garantir dans les banques les fonds propres de leurs activités.
On ne prête qu’aux riches, alors qu’il y a une multitude de « sans- fortune « qui ont des idées pour entreprendre.
Il faudrait avant le G 20, se mettre d’accord, au moins en France sur les composantes, les finalités du capitalisme et ses pratiques. Ce qui est inquiétant, malgré les discours, c’est qu’au G 20 se réuniront des leaders politiques, qui sont conditionnés par de grands capitalistes et que même certains d’entre eux doivent leur carrière politique à leurs subsides.
Un G 20 de petits et moyens entrepreneurs courageux et de syndicalistes modérés et de collectifs de salariés feraient mieux l’affaire ! Mais ceux-là ne sont pas au pouvoir !
Un ancien premier ministre a défini le capitalisme à réguler comme un système qui a fait ses preuves, car il privilégie économie de marché et libre entreprise. Intéressant mais réducteur aux deux principaux mécanismes de ce type d’économie.
Pour nous le capitalisme, ce n’est pas la mise en exergue du capital, mais l’accaparement des plus-values sur le travail, les matières premières et les énergies par les propriétaires de capitaux investis. En quelque sorte, des propriétés qui s’amassent en partie par des hold-up et non par le travail ;
Ce n’est évidemment pas le cas de tous ces entrepreneurs, dits petits et moyens, qui hypothèquent leur maison pour garantir dans les banques les fonds propres de leurs activités.
On ne prête qu’aux riches, alors qu’il y a une multitude de « sans- fortune « qui ont des idées pour entreprendre.
Il faudrait avant le G 20, se mettre d’accord, au moins en France sur les composantes, les finalités du capitalisme et ses pratiques. Ce qui est inquiétant, malgré les discours, c’est qu’au G 20 se réuniront des leaders politiques, qui sont conditionnés par de grands capitalistes et que même certains d’entre eux doivent leur carrière politique à leurs subsides.
Un G 20 de petits et moyens entrepreneurs courageux et de syndicalistes modérés et de collectifs de salariés feraient mieux l’affaire ! Mais ceux-là ne sont pas au pouvoir !
13-03-09 http://modem-authentique.blogspot.com
La thèse d’un Modem authentique classe cette option politique résolument à gauche.
C’est d’ailleurs en réaction à quatre prises de position successives de François Bayrou que fut lancé ce blog, pour essayer de peser sur ses orientations.
A ) Refus de s’associer avec Ségolène Royal au deuxième tour de l’élection présidentielle. B ) La réunion populiste centriste de Seignosse autour de JM Cavada. C ) Le fameux « Nous ne laisserons pas la municipalité de Pau aux mains des Socialo-communistes « D ) Le soutien apporté à Lyon à Mr Mercier qui voulait une liste Perben de premier tour UMP/Modem aux municipales à Lyon.
La cinquième République, depuis la fin du mandat du Général De Gaulle, nous place lors des seconds tours des élections dans un choix Gauche ou Droite. La chimère centriste s’est toujours révélée » in fine « une annexe de droite.
Si l‘on suppose qu’il y a des orientations et des valeurs, de gauche et de droite, le courant Modem authentique s’affiche majoritairement socialiste.
Il empruntera à la Droite, l’attachement à la Patrie, la sécurité, l’ordre, la famille, la responsabilité individuelle, l’esprit d’entreprise, la libre concurrence, l‘égalité devant la loi… …Il privilégiera de Gauche, le bien public, l’intérêt général, la Justice sociale, l’accession à la propriété par le travail, l’équité, le partage, la co-opération, la fraternité.
Ainsi seront apportés des atouts de droite, droiture et rigueur pour réaliser une espérance de gauche : la Justice sociale.
Le Général De Gaulle nous a rendu grand service en mettant fin à la chienlit politique de la quatrième République. Il s’est placé au-dessus des ambitions partisanes. Notre problème n’est pas la gouvernance de notre pays par une femme ou un homme de génie ou exceptionnel, .mais par une organisation et des méthodes authentiquement démocrates, soutenues, approuvées, appliquées par le peuple.
La thèse d’un Modem authentique classe cette option politique résolument à gauche.
C’est d’ailleurs en réaction à quatre prises de position successives de François Bayrou que fut lancé ce blog, pour essayer de peser sur ses orientations.
A ) Refus de s’associer avec Ségolène Royal au deuxième tour de l’élection présidentielle. B ) La réunion populiste centriste de Seignosse autour de JM Cavada. C ) Le fameux « Nous ne laisserons pas la municipalité de Pau aux mains des Socialo-communistes « D ) Le soutien apporté à Lyon à Mr Mercier qui voulait une liste Perben de premier tour UMP/Modem aux municipales à Lyon.
La cinquième République, depuis la fin du mandat du Général De Gaulle, nous place lors des seconds tours des élections dans un choix Gauche ou Droite. La chimère centriste s’est toujours révélée » in fine « une annexe de droite.
Si l‘on suppose qu’il y a des orientations et des valeurs, de gauche et de droite, le courant Modem authentique s’affiche majoritairement socialiste.
Il empruntera à la Droite, l’attachement à la Patrie, la sécurité, l’ordre, la famille, la responsabilité individuelle, l’esprit d’entreprise, la libre concurrence, l‘égalité devant la loi… …Il privilégiera de Gauche, le bien public, l’intérêt général, la Justice sociale, l’accession à la propriété par le travail, l’équité, le partage, la co-opération, la fraternité.
Ainsi seront apportés des atouts de droite, droiture et rigueur pour réaliser une espérance de gauche : la Justice sociale.
Le Général De Gaulle nous a rendu grand service en mettant fin à la chienlit politique de la quatrième République. Il s’est placé au-dessus des ambitions partisanes. Notre problème n’est pas la gouvernance de notre pays par une femme ou un homme de génie ou exceptionnel, .mais par une organisation et des méthodes authentiquement démocrates, soutenues, approuvées, appliquées par le peuple.
Monday, March 09, 2009
9-03-09 http://modem-authentique.blogspot.com
L’Europe végète…… Apprendre que l’Autriche et le Luxembourg refusent - pour l’instant espérons-le - de lever le secret bancaire, Subir le blocage institutionnel de l’Irlande, Assister au spectacle à Bruxelles de la lutte contre la crise mondiale par des volontés du chacun pour soi, sont d’autant plus inquiétants que le nationalisme n’est pas loin. Il pourrait bien se renforcer, attisé par un vent de contestation populaire.
La réponse devrait être une plateforme d’inspiration fédérale de l’Allemagne – Espagne – France – Italie, ouverte tout naturellement aux pays du Bénélux. L’élargissement a été jusqu'ici, plus commercial que politique. Il a conforté la volonté de beaucoup d’une Europe des Nations de l’Atlantique à l’Oural. Mais chaque chose en son temps. Pour que cette option devienne une construction solide d’avenir, il faut renforcer les fondations. C’est folie de monter des étages sur un rez-de-chaussée dont on n’a pas pris la précaution de consolider les murs par un chaînage correctement ferraillé. Surtout que nos amis anglais regardent les lézardes.
L’Europe végète…… Apprendre que l’Autriche et le Luxembourg refusent - pour l’instant espérons-le - de lever le secret bancaire, Subir le blocage institutionnel de l’Irlande, Assister au spectacle à Bruxelles de la lutte contre la crise mondiale par des volontés du chacun pour soi, sont d’autant plus inquiétants que le nationalisme n’est pas loin. Il pourrait bien se renforcer, attisé par un vent de contestation populaire.
La réponse devrait être une plateforme d’inspiration fédérale de l’Allemagne – Espagne – France – Italie, ouverte tout naturellement aux pays du Bénélux. L’élargissement a été jusqu'ici, plus commercial que politique. Il a conforté la volonté de beaucoup d’une Europe des Nations de l’Atlantique à l’Oural. Mais chaque chose en son temps. Pour que cette option devienne une construction solide d’avenir, il faut renforcer les fondations. C’est folie de monter des étages sur un rez-de-chaussée dont on n’a pas pris la précaution de consolider les murs par un chaînage correctement ferraillé. Surtout que nos amis anglais regardent les lézardes.
Saturday, March 07, 2009
6-03-09 http://modem-authentique.blogspot.com
Est-il « démocratique « que les formations politiques annoncent la liste de leurs candidats pour l’élection Européenne, avant d’avoir précisé les options politiques qu’ils proposeront ?
Il faut certes des avocats de bons niveaux, compétents, dévoués, mais les orientations ne sont-elles pas fondamentales ? Européanisation de l’Energie – Parité fixe EuroDollar – Armée Européenne de sécurité – Harmonisation fiscale - Canalisation des délocalisations – SMIC européen et protection sociale généralisée - Limites aux pratiques de la libre concurrence.
La transparence « politique « commande que l’électeur fasse son choix sur un programme, plus que sur un candidat. On peut supposer à priori que ces derniers sont prêts à servir loyalement, mais à servir à quoi, quand, comment, avec quels moyens ?
L’ambition sou jacente d’un Modem authentique est une organisation de type fédérale, des méthodes de consultations populaires par le biais associatif. Cela ne se voit pas sur la photo d’un candidat parlementaire
Est-il « démocratique « que les formations politiques annoncent la liste de leurs candidats pour l’élection Européenne, avant d’avoir précisé les options politiques qu’ils proposeront ?
Il faut certes des avocats de bons niveaux, compétents, dévoués, mais les orientations ne sont-elles pas fondamentales ? Européanisation de l’Energie – Parité fixe EuroDollar – Armée Européenne de sécurité – Harmonisation fiscale - Canalisation des délocalisations – SMIC européen et protection sociale généralisée - Limites aux pratiques de la libre concurrence.
La transparence « politique « commande que l’électeur fasse son choix sur un programme, plus que sur un candidat. On peut supposer à priori que ces derniers sont prêts à servir loyalement, mais à servir à quoi, quand, comment, avec quels moyens ?
L’ambition sou jacente d’un Modem authentique est une organisation de type fédérale, des méthodes de consultations populaires par le biais associatif. Cela ne se voit pas sur la photo d’un candidat parlementaire
Monday, March 02, 2009
2-03-09 http://modem-authentique.blogspot.com
Le directeur de l’Unédic a été le 1er Mars parfaitement hermétique sur France Inter. A la question du journaliste sur les risques de chômage en 2009 il a répondu. En comptant sur une croissance négative de 1 %, il y aurait 300000 chômeurs de plus. Et il a simplement ajouté, on peut craindre que ce ne soit davantage !
Tabler sur – 3 % par exemple, ce qui ne serait pas déraisonnable hélas, aboutirait à plus d’1 million de demandeurs d’emploi supplémentaire !
Les dirigeants actuels de notre pays suivent la vague, comme Madame Lagarde qui en six mois est passée d’un budget à + 2 %, à + 1 , puis + 0,5 , puis 0 , puis – 0,5 . Leur mot d’ordre est ne pas inquiéter le bon peuple. C’est mauvais, et pour le moral, et pour la confiance.
Nous sommes nombreux a ne pas avoir confiance en le de l’Etat et son gouvernement. Il est vrai qu’il y a deux ans, le premier ministre avait déclaré la France en faillite. Il aurait fallu qu’il ajoute qu’en plus notre économie était anémiée. En effet, le taux de contrats précaires - beaucoup trop élevé - ( Intérim – CDD en tout genre……) est la preuve éclatante des incertitudes des entreprises sur les volumes de production à servir pour nos marchés intérieurs et des clients à l‘export.
Ce n’est pas être « pessimiste « que de dire qu’une économie en équilibre instable sur laquelle s’abat une crise financière aussi profonde, le malade a besoin d’une transfusion de sang, en l’occurrence d’une transfusion d’argent frais.
Le bouclier fiscal, le travailler plus pour gagner plus, adressés à quelques-uns, étaient déjà une provocation au bon sens. Ils sont aujourd’hui parfaitement indécents. Dernier avertissement avant la colère de la rue.
Le plan de relance des entreprises ( Ne confondons pas banques et entreprises. Les premiers écrèment, les secondes créent des richesses ) demande d’après les différents chiffres avancés, 40 à 50 milliards de capitaux frais ?. L’Etat sait où ils sont. Il les trouvera facilement en ponctionnant les niches fiscales, les paradis fiscaux, en supprimant les fraudes orchestrées.
Un impôt de solidarité nationale exceptionnel sur les citoyens qui disposent d’un patrimoine supérieur à 100 millions et/ou des revenus nets annuels de plus de 480000 euros/an, fera l‘affaire.
Horreur, les capitaux vont fuir ! Prévenir ces Messieurs et Dames que la sortie se fait en slip, billet aller simple, bracelets autour des bras et colliers autour du cou.
Le directeur de l’Unédic a été le 1er Mars parfaitement hermétique sur France Inter. A la question du journaliste sur les risques de chômage en 2009 il a répondu. En comptant sur une croissance négative de 1 %, il y aurait 300000 chômeurs de plus. Et il a simplement ajouté, on peut craindre que ce ne soit davantage !
Tabler sur – 3 % par exemple, ce qui ne serait pas déraisonnable hélas, aboutirait à plus d’1 million de demandeurs d’emploi supplémentaire !
Les dirigeants actuels de notre pays suivent la vague, comme Madame Lagarde qui en six mois est passée d’un budget à + 2 %, à + 1 , puis + 0,5 , puis 0 , puis – 0,5 . Leur mot d’ordre est ne pas inquiéter le bon peuple. C’est mauvais, et pour le moral, et pour la confiance.
Nous sommes nombreux a ne pas avoir confiance en le de l’Etat et son gouvernement. Il est vrai qu’il y a deux ans, le premier ministre avait déclaré la France en faillite. Il aurait fallu qu’il ajoute qu’en plus notre économie était anémiée. En effet, le taux de contrats précaires - beaucoup trop élevé - ( Intérim – CDD en tout genre……) est la preuve éclatante des incertitudes des entreprises sur les volumes de production à servir pour nos marchés intérieurs et des clients à l‘export.
Ce n’est pas être « pessimiste « que de dire qu’une économie en équilibre instable sur laquelle s’abat une crise financière aussi profonde, le malade a besoin d’une transfusion de sang, en l’occurrence d’une transfusion d’argent frais.
Le bouclier fiscal, le travailler plus pour gagner plus, adressés à quelques-uns, étaient déjà une provocation au bon sens. Ils sont aujourd’hui parfaitement indécents. Dernier avertissement avant la colère de la rue.
Le plan de relance des entreprises ( Ne confondons pas banques et entreprises. Les premiers écrèment, les secondes créent des richesses ) demande d’après les différents chiffres avancés, 40 à 50 milliards de capitaux frais ?. L’Etat sait où ils sont. Il les trouvera facilement en ponctionnant les niches fiscales, les paradis fiscaux, en supprimant les fraudes orchestrées.
Un impôt de solidarité nationale exceptionnel sur les citoyens qui disposent d’un patrimoine supérieur à 100 millions et/ou des revenus nets annuels de plus de 480000 euros/an, fera l‘affaire.
Horreur, les capitaux vont fuir ! Prévenir ces Messieurs et Dames que la sortie se fait en slip, billet aller simple, bracelets autour des bras et colliers autour du cou.
Sunday, March 01, 2009
27-02-09 http://modem-authentique.blogspot.com
Les révélations récentes sur la Guadeloupe. 390000 habitants, dont 1 % détiennent 92 % des richesses. 1700 millions d’importations pour 140 millions d’exportations ( bananes – sucre ) apportent la preuve de l’incurie des gouvernements successifs à mettre, en pratique les valeurs de notre République : Liberté – Egalité – Fraternité.
Un des facteurs qui explique le profond déséquilibre de cette économie serait les coûts de transport entre les Antilles et l’Europe ( containers pleins à l’aller, vides au retour ). Voilà un secteur qui devrait relever de la gestion des services publics et pourquoi pas une partie de la distribution. Soviétisation ? Nationalisation ? Oui si c’est l’intérêt général de la population. En se méfiant de toute organisation bureaucratique, irresponsable, dispendieuse. Mais les services de l’Etat compte un pourcentage autant et même plus attentif au bien public que « le privé « tenté souvent d’être un renard dans un poulailler. .
Les révélations récentes sur la Guadeloupe. 390000 habitants, dont 1 % détiennent 92 % des richesses. 1700 millions d’importations pour 140 millions d’exportations ( bananes – sucre ) apportent la preuve de l’incurie des gouvernements successifs à mettre, en pratique les valeurs de notre République : Liberté – Egalité – Fraternité.
Un des facteurs qui explique le profond déséquilibre de cette économie serait les coûts de transport entre les Antilles et l’Europe ( containers pleins à l’aller, vides au retour ). Voilà un secteur qui devrait relever de la gestion des services publics et pourquoi pas une partie de la distribution. Soviétisation ? Nationalisation ? Oui si c’est l’intérêt général de la population. En se méfiant de toute organisation bureaucratique, irresponsable, dispendieuse. Mais les services de l’Etat compte un pourcentage autant et même plus attentif au bien public que « le privé « tenté souvent d’être un renard dans un poulailler. .
23-02-09 http://modem-authentique.blogspot.com
La situation des capitalisations en Bourse est malsaine. Elle donne une image grotesque de la Valeur des sociétés. Elle perpétue la notion de marché « suprême pensée – pensée suprême. « la démarche même qui habite les capitalistes adeptes du libéralisme pur jus.
Sortant du boulevard des concepts financiers de ses amis » Tout pour mon portefeuille », notre président semblait avoir reconnu qu’il fallait » réguler ». Il ferait un premier pas en plaçant les cours de bourse sur autoroute à vitesse limitée.
Par exemple , le titre de Compagnie de Saint Gobain vaut « objectivement – techniquement « 40/42 euros. Il ne pourrait pas être vendu dans les trois années à venir au-dessous de 30 euros. Sauf cas particulier évidemment d’une catastrophe « technique ». L’échec pur et simple par exemple d’un modèle de voiture pour un constructeur automobile, lui faisant « ferrailler « une chaîne de montage.
Cette marge de négociation du titre, limitée à – 25%, montrerait le respect des sommes investies sous toutes les formes par les actionnaires. ( - recherche de produits et de clients, – locaux – machines, installations - etc…)
Réguler n’est pas interdire, contraindre, c’est organiser un climat de modération, placer des glissières de sécurité.
La situation des capitalisations en Bourse est malsaine. Elle donne une image grotesque de la Valeur des sociétés. Elle perpétue la notion de marché « suprême pensée – pensée suprême. « la démarche même qui habite les capitalistes adeptes du libéralisme pur jus.
Sortant du boulevard des concepts financiers de ses amis » Tout pour mon portefeuille », notre président semblait avoir reconnu qu’il fallait » réguler ». Il ferait un premier pas en plaçant les cours de bourse sur autoroute à vitesse limitée.
Par exemple , le titre de Compagnie de Saint Gobain vaut « objectivement – techniquement « 40/42 euros. Il ne pourrait pas être vendu dans les trois années à venir au-dessous de 30 euros. Sauf cas particulier évidemment d’une catastrophe « technique ». L’échec pur et simple par exemple d’un modèle de voiture pour un constructeur automobile, lui faisant « ferrailler « une chaîne de montage.
Cette marge de négociation du titre, limitée à – 25%, montrerait le respect des sommes investies sous toutes les formes par les actionnaires. ( - recherche de produits et de clients, – locaux – machines, installations - etc…)
Réguler n’est pas interdire, contraindre, c’est organiser un climat de modération, placer des glissières de sécurité.
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