Saturday, November 29, 2008

1 - 12 –
1 ) Qu’est ce que le bien être ? – Le dictionnaire est clair « philosophiquement « : Sensation agréable procurée par la satisfaction de besoins physiques, l’absence de tensions psychologiques. Euphorie – béatitude – bonheur – quiétude – satisfaction - sérénité……
« Avec cela une telle définition, en économie, nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! ". Restons au raz des pâquerettes. On peut avancer : Logement confortable, nourriture équilibrée, vêtements, donc santé. Opportunités de Travail enrichissant, rémunération correcte ( supérieure au minimum ), Assurance d’une retraite sereine.
Certes, l’évaluation est différente pour chacun. Elle est possible pour que tous les citoyens vivent dans la dignité, dans une société juste, solidaire.
La grande majorité de nos concitoyens sauront auto-« évaluer leur situation de bien être. Pour de l’ordre de10 %, il faudra organiser une redistribution et un partage plus sérieux et généreux qu’aujourd’hui : Chômeurs longue durée – Sdf – exclus – immigrés.
Cela ne peut se faire en « laissant aller « !
20 ans chez papa-maman, avec un petit boulot occasionnel ? 40 ans au RMI avec 600 euros par mois ? 60 ans en retraite avec 500 euros par mois, sans la possibilité d’offrir un cadeau aux petits enfants ? Tant que ceux qui dirigent établiront un « minimum « pour les sans parts et vivront avec 80 ou 100 minima mensuels, nous serons dans une société déchirée.

28 – 11 –
Dans notre pays, tous les politiques ( politiciens ) pensent 2012, année de la prochaine élection présidentielle. Ce fut une des causes de l’affrontement socialo-socialiste de Reims . Pour l’UMP, Nicolas Sarkozy sera candidat à sa succession. Il va utiliser la crise pour faire oublier ses promesses : + de progrès, + de travail, + de pouvoir d’achat. Il fera le nécessaire pour apparaître comme le sauveur, dès la fin de 2010.
Mais il sera à la remorque des vrais « grands «. La moralisation du capitalisme passera par eux, les capitalistes qui sont à l’échelle du monde : Citoyens des USA, Monarques des Emirats et d’Arabie Saoudite, Dirigeants des continents émergents, Chine – Inde – Brésil selon leurs intérêts : Avoir les occidentaux comme clients.
Le MoDem authentique doit définir un type d’économie nouveau. Solidaire, rigoureuse, entreprenante. Une économie qui assurerait à tous les citoyens le bien-être., tout en respectant les postulats d’une gestion d’entreprise avisée,
Dix questions pour commencer : 1 ) Qu’est ce que le bien être ? – 2 ) Qui est citoyen ? – 3) Qu’est ce que la gestion, de façon générale ? 4) de façon schématique ?- 5 ) L’entreprise , quel statut ? 6 – Qu’est ce qui est « avisée « , la gestion ? 7 ) ou l’entreprise ? 8 ) Que peut-on énoncer comme postulats ? 9 ) Ne manque t-il pas un préalable : la Justice sociale ? 10 ) Peut-on espérer mesurer le degré de solidarité d’une économie ?

Monday, November 24, 2008

24 – 11 –
Nicolas Sarkozy n’est pas le bon skipper pour naviguer au « plus près. Il faut louvoyer dans la tempête qui s’abat sur l ‘économie réelle, celle des entreprises qui produisent. C’est la conséquence mécanique du cyclone de la crise financière.
Peut-on faire des propositions ?

1 - La méthode n’est pas d’attribuer des cautions à des banques qui ont tiré la couverture à elles, laissé des secteurs productif- qui devaient enrichir le bien public - s’installer dans des pays qui ne nous valent pas forcément du bien.
La concurrence, la compétition, oui. Le commerce « poker menteur « non. On ne joue pas avec des pirates, adeptes de salaires de misère, d’absence de protection sociale, de conditions de travail moyenâgeuses, de fiscalité de complaisance.
2 - Ne pas répéter que dans cette formule, l’Etat retrouvera sa mise avec intérêt.
Il y aura bien au moins 20 à 30 % de créances plus que douteuses, qui ne seront pas honorées.
3 - Dans l’immédiat, prendre 33 % des fonds propres des sociétés du CAC 40 et surveiller à partir de ces mastodontes, la bonne santé des sous traitants et des PME en périphérie.
4 - Augmenter les minima sociaux mensuels de 200 euros.
5 - Limiter les hauts revenus nets annuels à 500000 euros.
6 - Lever un emprunt obligataire de 50 Milliards remboursable à 80 %, en fin de crise.
7 - Supprimer progressivement toutes les niches fiscales.
8 - Condamner comme détournement de fonds nationaux les versements à des paradis fiscaux.
9 - Dès que possible, enclencher dans l’Eurogroupe une harmonisation des fiscalités, des salaires et de la protection sociale.

Une politique « Modem authentique « , ce n’est pas réformer le capitalisme. C’est le remplacer par une économie de solidarité, dans laquelle l’argent est un outil, un moyen d’investir et de consommer raisonnablement, écologiquement, tout simplement intelligemment. Le gaspillage, l’absence de productivité, ce n’est pas intelligent, c’est un laisser-aller coupable, en contradiction avec l’idéal républicain. Les salariés – ( ce qui n’est pas un scoop ! ) vont travailler en fonction des carnets de commande de leurs entreprises et la solvabilité de leurs clients. Il faut dépenser, mieux, moins, en termes de nécessaire.

Sunday, November 23, 2008

21 – 11 –
Etait-il raisonnable de s’entredéchirer à Reims entre socialistes pour savoir avec quel visage du « Janus Modem/version Bayrou « s’associer en 2012 !
Certes, François Bayrou a su très rapidement empaqueter les suffrages qui se sont portés fin Avril 2007 sur lui. Mais, le second tour de l’élection présidentielle, ses votes à l’Assemblée Nationale, les élections municipales, ont montré que 2 millions de ce conglomérat avaient une sensibilité forte à gauche, 2 millions de voix étaient des centristes qui n’ont pas choisi Ségolène Royal - elle a donc perdu l’élection - et 3 millions sont rentrés dans leur bercail habituel, venant renforcer Nicolas Sarkozy.
La question principale n’est pas de tirer des plans sur la comète 2012, en commençant par se gratter le nombril
Le problème immédiat est d’investir. Investir pour que les entreprises restent à flot, et contribuent ainsi à l’amélioration du pouvoir d’achat des salariés. Juguler la crise de l’économie, c’est être encore plus attentif à l’intérêt général. Naviguer au « plus prês «, louvoyer avec la tempête.
Nicolas Sarkozy est-il le bon skipper ? Oui pour la poursuite d’une gestion de la cité à droite. Elle laisse le pouvoir politique entre les mains des propriétaires de capitaux qui détiennent le nerf de la guerre : le pouvoir économique. On continue à assimiler capacité d’entreprendre, dynamisme individuel avec intérêt général. Non, pour une politique de Justice sociale, de solidarité qui se dévoue pour les sans-parts, les naufragés de l'économie qui accapare les plus-values au seul profit derquelques uns.
Or le bien public se nourrit de partage comme Martin qui coupe son manteau en deux, de solidarité comme François d’Assise, de dévouement comme tous les bénévoles d’associations affamées de Justice.
Réformer, moraliser le capitalisme ? Non. Réformer Nicolas, tant qu’il a le pouvoir politique entre ses mains. Réforme qui n’aboutira que s’il » réforme en amont « ses copains propriétaires, ses appuis occultes, ses relations du Fouquet’s.

Monday, November 17, 2008

17 – 11 –
Reims Nov 2008 ? Un congrès de socialistes où chacun des leaders regarde son nombril et rame pour son compte ! Désespérant !
Dans cette période de crise - provoquée par les spéculations financières, les surchauffes capitalistiques, sans référence à l’économie au service des citoyens - on aurait pu espérer une confrontation intelligente entre les options proposées pour une nouvelle organisation de la société au service de tous. Le moins qu'auraient dû faire ces brillants stratèges ! - en ces temps de remise en cause salutaire –
Non, ont dominé les arrières pensés, les ambitions personnelles, les inimitiés, sur musiques hypocrites pour une unité de façade. Tous unis derrière moi, pour moi, avec moi. Cher Bertrand, chère Martine, cher Benoît !
Faut-il ajouter chère Ségolène ? Non, elle a acquis, il y a un an et demie, une légitimité nationale de 47 %, malgré les crocs en jambes, les coups bas.
Le socialisme est bafoué par tous ces grands prêtres et prêtresses de chapelles, d’officines, d’arrières boutiques, qui se bousculent pour occuper le devant de la scène.
L’organisation de ce congrès est délirante. Pendant trois journées , les porteurs des motions vendent dans des sermons plus ou moins émouvants leur salade et discutent pendant la nuit de « combinazione « d’états-majors.
Il aurait été préférable de solliciter en réunion plénière des votes sur chaque proposition en débat et de laisser la nuit porter conseil !
Exemples : Pour ou contre un accord avec le Modem ? avant ? après le premier tour d’un scrutin ? à quelles conditions ?
Licenciements ? interdiction pure et simple ? Préventivement, seulement, en cas de restructuration fondamentale ? Si l’entreprise est au bord de la faillite sans possibilité de redressement partiel ?
Impôts sur le revenu : Bouclier à 50 % ? à 60 % ? pas de limitation au prélèvement ? Fixation d’un plafond mensuel net ? 40000 euros ? 50000 euros ?
Déficit de l’Etat : interdiction pure et simple ? contribution supplémentaire
systématique des hauts revenus ? suppression de toutes les niches fiscales ?
Paradis fiscaux : Contrôle ? par qui ? Démantèlement ? Amende ? Prison ?
Israël/ Palestine ? Irak ? Afghanistan ? Nucléaire iranien ?………

Nos concitoyens – premiers et seuls vraiment intéressés pour savoir quel type de société préconise le parti socialiste - auraient été rassurés : 1) sur le sérieux de cette formation politique. 2) A quelle sauce ils seront mangés. 3 ) Qui devra serrer au moins d’un cran sa ceinture ?

Saturday, November 15, 2008

14 – 11 – Rêvons d’une révolution mondiale.
Dès 2006, le marché immobilier américain a été pourri par les « subprime « crédits immobiliers déraisonnables, apparemment attractifs : faible taux – franchise de deux ans – espoir de plus value en cas de revente de la maison. ( Nous avions vu ce que de telles acrobaties donnent avec l’affaire du Crédit Lyonnais ).

De nombreuses banques en ont fait des produits financiers qui auraient été juteux pour elles, s’ils étaient remboursés. Comme de nombreux débiteurs se sont retrouvés insolvables, des organismes financiers de renom ont succombé :
Février 2008 - la banque britannique Northern Rock. - Mars, rachat de la banque américaine JP Morgan - Mai, Contestation des rémunérations des dirigeants des banques et des sociétés par les Ministres des Finances de la zone euros. Juillet, Nationalisation de Freddie Mac et Fannie Mae , sociétés américaines de refinancement du crédit immobilier. Septembre, Lehman Brothers, tombe en faillite. Octobre plan PAULSON, du nom du Secrétaire au Trésor des USA. Gordon BROWN, chancelier de l’Echiquier britannique, souligne le principal disfonctionnement actuel dans cette crise financière : Les banques n’osent plus se prêter entre elles. Le seul remède est ainsi une régulation politique de l’activité bancaire par les pouvoirs publics. Le libéralisme, triomphant jusqu’alors, est mis à mal. Novembre : 240000 chômeurs de plus aux USA. Des secteurs phares comme l’automobile, constructeurs et sous-traitants, le bâtiment, les fabricants de matériaux de construction entrent en récession.


A leur tour, les pays de l’Union Européenne sont atteints par le cyclone. Il amplifie la crise alimentaire et celle qui mine l’économie de l’Occident depuis l’émergence logique et souhaitable de continents entiers comme la Chine, l’Inde, le Brésil. D‘exploités autre fois, ils sont devenus depuis trente ans les locomotives de l’économie mondiale, avec cette particularité qu’ils produisent avec des niveaux de salaires et absence de protection sociale.

L’O.N.U aurait dû veiller à ce que la concurrence internationale se fasse à la loyale. Mais elle est volontairement hors du jeu, les investisseurs des principales puissances économiques occidentales s’enrichissant par les délocalisations. Ils détiennent d’ailleurs une grande part du pouvoir politique de nos Etats moins » démocratiques « qu’on ne le dit. L’économie réelle, celle des entreprises qui produisent des richesses, est ainsi utilisée à des fins tout à fait classiques en système capitaliste. L’accroissement apatride des profits par les porteurs de capitaux. Tout est bon : Spéculation sur l’énergie, les matières premières, les transports, les monnaies…

Les dirigeants politiques sauront-ils tirer la leçon des méfaits de leur hypocrisie ? Belles pensées, belles paroles, la main sur le cœur en public – Crispations nationalistes, le chacun pour soi , dans leurs actions quotidiennes.

Il est probablement utopique de vouloir une régulation mondiale à partir de l’O.N.U. : - Un serpent monétaire international – La mondialisation de l’air, de l’eau, des énergies. - Un plan « Marshal « planétaire où les continents se répartissent l’exploitation rationnelle de leurs ressources et l’échange équitable – Un désarmement coordonné, réciproque, massif.
On peut supposer que ni la Chine, ni l’Inde ne seront en mesure d’être les chevilles ouvrières d’un tel mouvement avant une vingtaine d’années. L’union Européenne est aux abonnés absents depuis plus de trente ans. On y tricote « petit «.
Les USA « étaient « en faillite. Leur capacité à innover, leurs facultés en matière d’organisation, leur puissance, pourront t-elles être mobilisées par leur nouveau président ? Réflexe monarchique. C’est très ennuyeux de recourir à un homme « providentiel «. Mais il faut être réaliste. Il faut un chef d’orchestre pour une tâche révolutionnaire de cette ampleur. Gandhi, Luther King, auraient pu faire l’affaire. Deux disparus de notre quotidien, qui ont témoigné de leur foi. La place est à prendre pour une révolution au service de l’humanité tout entière.

Dans son dernier bulletin « Regards « , l’Antenne sociale de Lyon, qui organise cette année les semaines sociales de France les 21 -22 – 23 Novembre « Les religions, menace ou espoir pour nos sociétés résume bien l’enjeu /
« Il nous faut tourner le dos au temps de l’argent fou, et réaffirmer la nécessité d’une richesse porteuse d’une vie équilibrée pour chacun. Sans oublier qu’en exigence évangélique, au-delà du nécessaire, le reste de nos biens appartient aux pauvres. La liberté chrétienne déploie son imagination dans les façons de répartir et de donner.

Saturday, November 08, 2008

7 - 11
Fin 2007, Monsieur Sarkozy était au courant - ou pouvait facilement l’être,- des répercussions que les endettements déments des « subprime « aux USA auraient bientôt comme conséquence avec les engagements pris en relais par les institutions françaises privées banques et compagnies d’assurances. Il savait qu’il n’y avait pas d’argent dans le trésor public et son premier ministre considérait notre pays comme étant en faillite. Donc aucune marge de manœuvre de l’Etat.
Cela ne l’a pas empêché de conduire une politique déraisonnable.
Le bouclier fiscal en premier lieu. Limiter les prélèvements obligatoires à 50 % pour les hauts revenus s’est concrétisé par 5 milliards environ de rentrée d’impôts en moins, officiellement. Officiellement, car avant l’établissement du revenu global, une bonne partie de revenus se sont réfugiés dans des niches fiscales. On parle de quelque 40 milliards.
Il faudrait que ceux qui se font apparemment les apôtres récents de la transparence, nous disent combien ont perdu nos concitoyens très riches dans la crise financière. On lit dans les journaux qu’au niveau mondial la perte serait de quelque 25000 milliards de dollars. Il doit bien en avoir 800 à 1000 dans notre pays ?
Curieuse coïncidence. En 20 ans, l’endettement public augmente de cette somme. Il y a-t-il une corrélation entre l’enrichissement démesurée des uns, la dette publique et l’appauvrissement d’une partie de la population chez nous ?
Nous avons là un des piliers de la conception Sarkosienne du capitalisme qu’il veut moraliser. Un capitalisme qui restera gras, obèse, indécent.
La situation financière exige, pour nous, au minimum : - 1 ) de prendre des participations dans le secteur bancaire à hauteur de 33 à 40 % - 2 ) - Puisqu’il y a un revenu de survie le « rmi « 450 euros mensuels minimum hors loyers et charges, il faut une limite haute, un « RMN « Revenu maximum de solidarité nationale. 40000 euros nets mensuels, cela devrait suffire ! – 3 ) Remplacer des parachutes en or par des parachutes en argent ou en bronze, limiter les rémunérations indécentes, ne seront que diminuer les pourboires de nantis. C’est un autre système que celui de la course au profit et son accaparement par les propriétaires qu’il faut mettre en place. Une organisation co-opérative des activités économiques où sont associés, ceux qui apportent de la matière grise, du travail manuel, de l’argent dans une charte de bonne conduite.
Nicolas Sarkozy et ses amis ne vont pas dans cette direction. Ils restent sur les mêmes schémas de discrimination, dogmes qui entretiennent la lutte entre les acteurs de l’économie. Ce n’est plus la lutte des classes, mais la même philosophie de base.

Wednesday, November 05, 2008

5 - 11
Élection de Barak Obama, 44ème président des USA : jour historique pour l’Occident. Trois expressions au moins resteront bien vivantes : Oui nous le pouvons – Espoir d’un monde meilleur – Rêve de fraternité. Que Dieu protège cet ouvrier. Qu’il soit artisan de Paix au Moyen Orient notamment.

Monday, November 03, 2008

3 - 11
Il est difficile aujourd’hui, veille de l’élection présidentielle aux USA de ne pas évoquer ce scrutin. Il serait évidemment normal de ne pas parler de couleur de peau. Des observateurs chevronnés envisagent pourtant que dans le secret de l’isoloir, cet emballage corporel pèse lourd dans la décision prise.
L’enjeu, et il est de taille, est pourtant ailleurs. Le USA sont objectivement en faillite, ce qui ne les empêche pas de mener à l’extérieur de leurs frontières, une politique interventionniste, colonialiste, impérialiste, capitaliste, catastrophique pour eux et leurs victimes.
Il suffit de regarder leur attitude au Moyen Orient, le soutien à bout de bras apporté depuis 40 ans à un Etat d’Israël qui colonise, affame le peuple palestinien. Israël a droit au respect, à la reconnaissance de son entité politique. Cela ne justifie pas ses comportements criminels répétés envers les civils de Gaza ou de Ramallah.
L’élection d’un président démocrate américain peut faire espérer : a ) - une politique de plus grande justice sociale pour ce grand et beau pays, revenus, protection sociale, emploi… b ) - A l’extérieur, l’adoption d’une ligne politique de co-opération loyale et non de domination policière. Cela signifie en clair une participation active dans le cadre de l’ONU.
Le peuple américain et leurs amis dans le monde mérite mieux que les cow boys et affairistes yankees que l’on a vu à la Maison Blanche.

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