Thursday, November 05, 2009
Un nouvel ordre économique ne peut intervenir que d’une impulsion générale et une coordination politique. Mais il est bon de ton aujourd’hui de focaliser sur les mondialisations.
Or celles qui sont répandues par de grandes firmes commerciales et industrielles d’un côté, de l’autre les marchés de l’ énergie et des matières premières, ne sont que l’action d’égoïsmes financiers démesurés.
Des particuliers, certes en cheville souvent avec les pouvoirs politiques en place, sont imperméables aux notions de bien public et de justice sociale.
Restons en France. Car la Chine, l’Inde, le Brésil - que certains appellent des pays alors qu’il s‘agit de continents - ont devant eux des marchés intérieurs tels qu’ils pourront rentabiliser n’importe quels investissements.
Si on fabrique en France quatre millions de voitures, dont la moitié environ sont exportés, il ne faut pas être grand clerc pour estimer que la production en Chine sera de 40 à 50 millions de véhicules. Il y en aura bien quelques une pour nous à bas prix……si la qualité……Mais là ceux qui ont inventé la brouette ont une culture enfouie sans limites.
Ne préoccupons nous, en étroite coordination avec nos partenaires de l’Union Européenne, du bien être de notre peuple, sur ses terroirs. Une aspiration au protectionnisme ? Oui bien sûr, en commençant par les activités bancaires.
C‘est la principale erreur stratégique des deux septennats Mitterand. La nationalisation du crédit a été contre productive.
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