Monday, November 16, 2009
16-11-09 http://modem-authentique.blogspot.com
Madame Lagarde est « réaliste « . d’un réalisme affligeant et scandaleux. Le déficit budgétaire de notre pays serait ramené, comme le demande les règlements de l’ Union Européenne, à 3 % du PIB en 2014. En clair, ce sera alors - comme en 2006 - un déficit annuel de 45 milliards.
Cela signifie que - puisqu’il se sera écoulé encore quatre ans à quelques 100 milliards de déséquilibre des comptes - la dette publique aura augmentée de 400 milliards ! L’équivalent d’une année du budget de la Nation.
Cette situation de faillite est fondée sur une crispation identitaire. Ne pas faire payer la crise financière d’une part, les dégâts sociaux du chômage et la récession industrielle d’autre part, aux responsables politiques et éonomiques de notre pays.
Pour Monsieur Sarkozy et ses ministres, on ne doit pas toucher aux mal acquis des grosses fortunes et des très hauts revenus.
Monsieur le président, rayez donc de votre vocabulaire, l’expression de solidarité. Vérifiez si vous méritez d’être considérés comme des responsables de l’unité nationale. Arrêtez de gloser sur l’identité nationale. Votre gestion de la fiscalité - où les riches prospèrent et les petits survivent - est indigne de l’idéal de notre République
Madame Lagarde est « réaliste « . d’un réalisme affligeant et scandaleux. Le déficit budgétaire de notre pays serait ramené, comme le demande les règlements de l’ Union Européenne, à 3 % du PIB en 2014. En clair, ce sera alors - comme en 2006 - un déficit annuel de 45 milliards.
Cela signifie que - puisqu’il se sera écoulé encore quatre ans à quelques 100 milliards de déséquilibre des comptes - la dette publique aura augmentée de 400 milliards ! L’équivalent d’une année du budget de la Nation.
Cette situation de faillite est fondée sur une crispation identitaire. Ne pas faire payer la crise financière d’une part, les dégâts sociaux du chômage et la récession industrielle d’autre part, aux responsables politiques et éonomiques de notre pays.
Pour Monsieur Sarkozy et ses ministres, on ne doit pas toucher aux mal acquis des grosses fortunes et des très hauts revenus.
Monsieur le président, rayez donc de votre vocabulaire, l’expression de solidarité. Vérifiez si vous méritez d’être considérés comme des responsables de l’unité nationale. Arrêtez de gloser sur l’identité nationale. Votre gestion de la fiscalité - où les riches prospèrent et les petits survivent - est indigne de l’idéal de notre République
# posted by Philippe Wolfrom : 12:08 PM
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