Tuesday, April 21, 2009
20-04-09 http://modem-authentique.blogspot.com
On nous annonce la résolution du conflit de Caterpillar à Grenoble. Tant mieux bien sûr au lieu de 730 licenciements et fermeture du site, il n’y en aura que 600 et la société prévoit des investissements !
Le signataire sait - pour avoir été cadre dans une grande société la Cie de Saint -Gobain pendant 17 ans, puis consultant en gestion pendant 10 ans - que les grandes sociétés ont des plans à long terme à 5 - 10 ( voir 20 ans s’il s’agit de société comme l’Edf ! ). Comment croire qu’en quelques heures, dans le cabinet d’un ministre, une politique d’investissement, une stratégie industrielle, peuvent être durablement modifiés ?
Ne soyons pas pessimiste, mais la crise peut faire repasser le plat !
Il y a une solution : Elle est entre les mains des syndicats, des comités d’entreprise. Négocier chaque année au moment de l’actualisation des plans, le bouclage des budgets d’exploitation, avec les représentants des actionnaires. L’avenir d’une entreprise repose essentiellement sur le potentiel de clients solvables et la mise au point de produits nouveaux performants.
Les salariés ne doivent pas se laisser enfermer dans un statut « Soit belle et tais-toi «. Il faut qu’ils débusquent les propriétaires qui font passer la rentabilité de leurs capitaux avant le bien public.
On nous annonce la résolution du conflit de Caterpillar à Grenoble. Tant mieux bien sûr au lieu de 730 licenciements et fermeture du site, il n’y en aura que 600 et la société prévoit des investissements !
Le signataire sait - pour avoir été cadre dans une grande société la Cie de Saint -Gobain pendant 17 ans, puis consultant en gestion pendant 10 ans - que les grandes sociétés ont des plans à long terme à 5 - 10 ( voir 20 ans s’il s’agit de société comme l’Edf ! ). Comment croire qu’en quelques heures, dans le cabinet d’un ministre, une politique d’investissement, une stratégie industrielle, peuvent être durablement modifiés ?
Ne soyons pas pessimiste, mais la crise peut faire repasser le plat !
Il y a une solution : Elle est entre les mains des syndicats, des comités d’entreprise. Négocier chaque année au moment de l’actualisation des plans, le bouclage des budgets d’exploitation, avec les représentants des actionnaires. L’avenir d’une entreprise repose essentiellement sur le potentiel de clients solvables et la mise au point de produits nouveaux performants.
Les salariés ne doivent pas se laisser enfermer dans un statut « Soit belle et tais-toi «. Il faut qu’ils débusquent les propriétaires qui font passer la rentabilité de leurs capitaux avant le bien public.
# posted by Philippe Wolfrom : 1:55 AM
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